Tranquillement... (LIBRE)

Makoto marchait dans le sable, la conscience plutôt tranquille. Pour le moment, les conflits débiles entre frères et soeurs lui montaient sérieusement à la tête. D'habitude, Makoto ne se montrait jamais aussi impatiente, pourtant, elle s'était bel et bien lassée de ces conflits aussi écoeurants les uns que les autres. Certaines personnes ne cherchaient que de la merde, ces gens là, en outre qui étaient quand même de sa famille, ne se cherchait mutuellement des ennuis, ils se provoquait, évoquant en même temps la colère et l'ennervement d'autres personnes autour, tel Makoto, ou Alexiel, sa mère. Pourquoi avait-il fallut qu'elle ait une famille aussi nombreuse? Pourquoi avait-il fallut qu'elle naisse dans la branche parallèle? Pourquoi devait-elle se faire autant haïr par toute sa famille? Pourquoi avait-il fallut qu'elle naisse, tout simplement? Pour elle, tel était le destin, pourtant, elle le savait, mais n'avait jamais su l'accepter tel qu'il était. La vie était si ennuyante et lassante pour elle, rien d'intéressant ne se produisait, ses journées se résumait à rien. Makoto se demandait si vraiment, sa vie allait perdurer ainsi... Bien qu'elle avait envie de quitter la maison, pour le moment, le moment était mal choisit pour qu'elle parte, car sa mère allait être encore plus malheureuse ainsi si tout le monde se mettait à partir de la maison par lassitude.

Bref, Makoto marchait dans le sable, pieds nus, certaines questions se bousculant sans cesse dans sa tête. Tête baissée, traînant des pieds, dégaine nonchalente, la tête penchant légèrement sur le côté. N'étant pas de nature très sensible, elle se laissait aller par la direction du vent. Puis, s'arrêtant de gambader sur la plage vide, il faisait sombre, car il se faisait tard. Mais pour l'instant, Makoto n'osait pas entrer dans l'enfer qui était la maison de sa mère, ses frères et soeurs. Elle pensait à Yuwenn, Ikuto, Al et à sa mère. Ce qui s'était passé ce matin là l'avait dégoûtée pour de bon. Déjà qu'elle n'avait pas tellement eu d'estime pour Yuwenn et Al, c'était la cerise sur le gâteau. Elle espérait que leur relation allait tout de même s'améliorer...

Makoto se sentait beaucoup plus libre, dans le noir, en regardant la mer noir se déchainer sur les rochers. Dehors, c'était un paradis tandis qu'à l'intérieur, était un enfer. Bref, soudain, elle sentit ses jambes se dérober sous elle et tomba par terre, sur les genoux. Puis, à l'aide de cette position, elle s'allongea confortablement sur le sable sec.

(zut, un peu court pour un début °O°)

Après avoir bien mangé, Yuna ne voulait pas rejoindre sa mère a l'île, elle voulait rester seule quelque part, elle finit par choisir la plage, ça faisait longtemps qu'elle n'a pas marché sur son sable et senti le vent dans son visage éclairé, elle aimait bien cette sensation....

Une fois arrivée à la plage, elle enleva ses sandales et commença à marcher, elle pensait aux beaux temps qu'elle a passé avec sa famille, elle se rappelait très bien de son père et elle l'aimait trop et parce qu'elle l'aimait elle voulait rendre à cette famille le sourire qui leur manque, elle était sûre que dans sa famille il y'a des membres qui ont les mêmes attentions qu'elle, elle acquit un sourire et s'assoie à côté d'un rocher, c'était tout noir et même si elle ne se sentait pas alaise en restant seul dehors, elle ne voulait pas rentrer....

Peu à peu ses yeux commençaient à se fermer, elle avait sommeil, elle rêvait d'une famille pleine de joie, une famille en harmonie, une famille qui ne laissait aucune chose mettre fin a leur relation.....

C'était pour elle la famille idéal....c'était pour elle ce que sa famille doit être....

Après un bon bout de temps elle se réveilla avec un sourire aux lèvres qui peut rendre heureux le plus malheureux des gens....

Elle se releva et se mit en route et sans y penser, elle était très loin de la demeure Unmei....

Pour elle il y'a des temps quand elle se disait : QUE LA VIE EST BELLE
Et ce moment-là, était un d'entre eux...

Elle vit de loin une silhouette, elle s'approcha de plus en plus, c'était Makoto, elle la considérait comme sa petite soeur...

Elle se pencha à côté de Makoto et dis avec un sourire :

- il fait beau n'est-ce pas ?

Puis elle s'assoit à son côté gauche

(HRP: le mien est court aussi ^^)